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Titre : Présentation de la commune de Montignac
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Localisation : Dordogne , Montignac
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Type de dossier : Dossier d'aire d'étude
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Date d'enquête : 2011
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Auteur du dossier : Ferlier Ophélie , Pagazani Xavier , Marabout Vincent
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Copyright : (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne
Historique
Les découvertes archéologiques majeures (grotte de Lascaux, gisement préhistorique de La Balutie au Régourdou) attestent d'une présence humaine dans ce territoire dès le Paléolithique.
D'autres fouilles archéologiques menées plus récemment ont révélé sans doute la première implantation dans le territoire. Au lieu-dit Le Chambon s'était formée au IIe siècle avant notre ère une zone d’habitations isolée dans la plaine, structurée de fossés et dont certaines des maisons, en bois et en terre, étaient surélevées. Dans un deuxième temps, entre 120 et 50 avant J.-C., les populations gauloises de ce site se sont déplacées un peu plus au nord, au lieu-dit Le Buy-Olivoux, et ont créé une nouvelle agglomération constituée de bâtiments sur poteaux. À la fin de l’âge du Fer, Le Buy-Olivoux est devenu une place de commerce et d’échange dynamique insérée dans les grands axes commerciaux. Comme d’autres sites de la vallée, il témoigne aussi de la mise en place d’une économie monétaire, dont la vitalité est liée à la redistribution du vin italique en amphores, notamment sur la Vézère qui devient une voie économique importante. Ces échanges commerciaux alors amorcés iront croissant après la Guerre des Gaules, au milieu du Ier siècle.
C’est après la conquête de la Gaule, et principalement à partir de la seconde moitié du Ier siècle de notre ère, que Montignac commence à être densément occupée, avec la création d'une véritable agglomération (un vicus), dotée d’une trame quasi orthogonale composée d’une voirie (d’un cardo et d’éventuels decumani) et d’îlots de bâtiments à vocation résidentielle, artisanale et commerciale, ainsi que d’un vaste sanctuaire (un fanum), d’une superficie de plus de 5 000 m², ceint d’un péristyle et doté d’une cella centrale circulaire. Des thermes complétaient les infrastructures de cette petite cité. Là encore, la situation des Olivoux à proximité de la Vézère, mais également d’un hypothétique lieu de croisement de routes terrestres importantes, au lieu-dit Vialot (à Auriac-du-Périgord), vers Vesunna (Périgueux), Tolosa (Toulouse), Burdigala (Bordeaux) et Augustoritum (Limoges), semble avoir été déterminant quant au choix de l’implantation – une seule est attestée durant l’Antiquité, les autres ne le sont pour l’instant qu’au Moyen Âge ou à l’époque moderne.
L’invasion vandale qui descend du Rhin en direction des Pyrénées et de la péninsule Ibérique en 406-409, puis l’installation des Wisigoths en Aquitaine en 418 ont certainement affecté le territoire de la vallée, et tout particulièrement celui de Montignac, bien qu'aucun élément archéologique en témoigne. Le vicus du Buy-Olivoux, abandonné après le IIIe siècle et tombé en ruine, est réoccupé par un village composé de cabanes à structure en bois.
Dès le Ve et jusqu’au Xe siècle, les évêques de Périgueux multiplient les fondations ; le catalogue des vocables employés et les prospections archéologiques permettent de distinguer plusieurs phases d’évangélisation. L'église Saint-Pierre-ès-Liens de Montignac est certainement créée au cours de la première génération de ces phases, entre le Ve et le VIIe siècle, à distance du Buy-Olivoux, mais à proximité immédiate de la Vézère.
A la fin du Xe siècle, de grands châtelains s’émancipent du pouvoir des comtes de Périgord. Parmi eux, un nom émerge : en 964, Grimoard tient en alleu (c’est-à-dire en pleine propriété) Limeuil, dont le territoire, qui comprend Paunat, Le Bugue et Montignac, semble correspondre à celui de l’antique circonscription administrative de la centaine du Bugue. C’est d’ailleurs au Bugue, à la même date, que l’épouse de Grimoard, Alaut (ou Adélaïde), dame de Montignac, fonde un monastère de moniales. Entre 1031 et 1072, l’alleu de Limeuil est démembré pour constituer plusieurs châtellenies indépendantes, démembrement profitant surtout au comte de Périgord, qui retrouve ainsi un peu de son pouvoir perdu dans le secteur. Aldebert II entre ainsi en possession des châtellenies de Montignac (dont la juridiction s’étend jusqu’à Tayac), grâce à la dot de son épouse Asceline, et de La Vigerie, qui comprend les paroisses de Rouffignac, Saint-Cernin, Saint-Félix et Saint-Geyrac, tandis que la châtellenie de Limeuil reste dans la famille du même nom.
La châtellenie de Montignac prend une importance de plus en plus grande au cours des siècles suivants. La nature de ses revenus au XIVe nous est connue : la part la plus importante provient des redevances annuelles et des dîmes, versées principalement en blés (froment, seigle, avoine) et en vin, qui pesaient sur les tenanciers de la centaine de manses répartis dans la châtellenie ; les autres parts sont issues des droits de péage sur le transfert des marchandises, par terre et par eau (à Montignac, Saint-Léon, Condat, Auriac, Bars, Fanlac et Valojoulx), des revenus des moulins et des fours banaux, des droits de pêche et de chasse, ou encore des leudes (droits levés sur les denrées vendues) perçues lors des foires et des marchés qui se tiennent dans le bourg castral. Ces quelques indications textuelles, bien que lacunaires, en disent pourtant long sur la complexité de la structure seigneuriale déjà en place et sur la densité de l’occupation du sol dans cette vaste juridiction, qui comprend alors pas moins de quatorze paroisses. Les seigneurs-châtelains de Montignac, qui avaient tout intérêt à resserrer leur emprise sur ce vaste territoire, vont créer de petits fiefs qu’ils vont donner en jouissance à certains de leurs milites castri, des chevaliers ou damoiseaux attachés à leur service, pour les récompenser, pour assurer le contrôle et la défense des axes de communication et des frontières, et pour accroître l’exploitation des terres nouvellement conquises. Ce processus de féodalisation des campagnes a probablement commencé dès les XIe-XIIe siècles, mais s'accroît fortement au XIIIe siècle. Ces nouveaux centres de pouvoir (Lascaux, Monès, Coulonges, Biars, etc.), parfois créés ex nihilo, sont le plus souvent implantés à proximité ou à l’intérieur de sites déjà occupés de longue date, dans un réseau de manses sur lequel ils vont désormais régner. Bien sûr, par le jeu des corvées imposées aux paysans, cette implantation nouvelle va de pair avec les défrichements, la mise en valeur des terres agricoles environnantes, principalement dédiées aux blés et à la vigne, et avec la création de bâtiments ou d’infrastructures, parfois fort coûteux, en particulier les moulins à eau, qui nécessitent le détournement ou l’aménagement d’une rivière.
La poussée démographique de cette période entraîne de manière concomitante le développement d'un centre de peuplement au pied du castrum de Montignac, élevé sur une éminence, pour se placer sous sa protection. Ce phénomène, connu sous le nom d’incastellamento et assez habituel aux XIe et XIIe siècles. À Montignac, dès le milieu du XIIe siècle, le bourg castral est protégé par une enceinte que défendent des fossés et des portes et sa population y dispose d’un édifice du culte, l’église Sainte-Marie. Mais l’accroissement de la population engendre assez rapidement la création de faubourgs, les « barri », ainsi que la création d’une halle, de fours, d’un couvent de frères mineurs et d’un hôpital (au début du XIIIe siècle). Avant 1242, un pont en pierre muni de tours de défense, semblable au pont Valentré de Cahors, permet le franchissement de la Vézère et relie le bourg au riche faubourg marchand situé sur la rive gauche, le barri du « Chap del Pon » (le chef du Pont). Surtout, ce pont établit une voie de communication marchande avec Sarlat et, au-delà, avec Cahors et Toulouse. Comme à Bergerac, sous l’impulsion des seigneurs-châtelains et de la communauté urbaine est également créée une dérivation canalisée du Laurence sur plus de trois kilomètres pour alimenter trois moulins implantés dans le bourg et ses faubourgs.
Après une belle période de prospérité, Montignac subit, comme tout le Sud-ouest, les affrontements du conflit franco-anglais. La châtellenie de Montignac, aux mains de Renaud de Pons (également seigneur de Bergerac), est du côté du roi de France. C’est dans ce contexte qu’il faut placer la vague la plus forte de féodalisation des campagnes, qui s’accroît considérablement au XIIIe siècle avec la multiplication de petits domaines nobles, appelés repayrium (repaire) ou hospitium (hôtel) dans les textes. Elle est attestée dès la première moitié du siècle dans les bourgs voisins de Sergeac (Cramirac) et de Saint-Léon-sur-Vézère (La Salle), qui relèvent de la châtellenie de Montignac. C'est également dans ce contexte que, en 1269, les habitants du bourg castral de Montignac obtiennent de leur seigneur Arnaud de Pons des chartes de privilèges et de franchises, qui les exonèrent des redevances qui pesaient jusqu’ici sur eux.
La fin de la trêve du traité de Brétigny (signé en 1360), en 1369, ouvre le dernier – et le plus terrible – chapitre de la guerre. Dès lors, la plupart des places-fortes et des villes du Périgord ont regagné le camp français, excepté dans les vallées de la Dordogne et de la Vézère, avec, au premier chef, Montignac. Tenue par le comte de Périgord depuis son acquisition en 1333, elle devient, sous Archambaud V, le nouveau centre du pouvoir comtal. Mais celui-ci n’est plus que l’ombre de lui-même, d’autant qu’Archambaud se conduit, ni plus ni moins, en chef de brigands : lançant des raids armés contre Périgueux, rançonnant Bergerac, pillant les marchands sur les routes, tuant ses opposants. En 1392, le sénéchal de Périgord et le vicomte de Meaux font le siège de Montignac pour faire revenir le comte à la raison, sans succès. En 1397, le roi de France le fait condamner, ainsi que « ses complices », au bannissement hors du royaume et à la confiscation de ses biens au profit de la Couronne. Archambaud V meurt peu après, en 1398, mais son fils Archambaud VI reprend le flambeau de son père pour embraser le Périgord : il attaque Périgueux, pille et incendie le château épiscopal de Plazac. L’armée royale commandée par le maréchal Boucicaut met alors le siège devant Montignac pendant plusieurs mois, avant que la ville ne tombe. Archambaud exilé en Angleterre, le comté de Périgord est donné par le roi à son frère, Louis d’Orléans. Montignac, assiégé, est définitivement libéré par les troupes françaises en 1437.
Un mémoire sur l’état de la châtellenie de Montignac établi en 1502 révèle l’ampleur des destructions, dont les stigmates restent alors en partie visibles. L’image générale est celle d’un pays ravagé qui peine encore à se relever. Dans la vallée de la Vézère, la reprise ne survient, en effet, qu’avec un important décalage chronologique à partir des années 1490. À Montignac, le pont est restauré dès les années 1470, bien avant que ne le soient le château et plusieurs maisons du bourg, à la fin du siècle. Autres preuves de la reprise à partir de la fin du XVe siècle : dans la plupart des hameaux et dans de nombreuses fermes isolées de la châtellenie, des éléments attribuables à cette période se repèrent (maçonnerie de petits moellons, baies à chanfrein droit, à croisillon en pierre ou à moulures à listel sur bases prismatiques...) et sont les indices, là encore, d’une reconstruction massive.
Montignac – et l’ensemble de la châtellenie, ainsi que le comté de Périgord lui-même – change souvent de mains au XVe siècle avant de passer en 1481 dans celles d’Alain d’Albret et de son fils Jean, roi de Navarre. Cet héritage lie dans la seconde moitié du XVIe siècle le destin d’une grande partie de la vallée à celui d’Henri de Navarre, le futur Henri IV. Mais celui-ci, considérablement endetté par les guerres, dépossède progressivement la châtellenie de ses prérogatives en vendant à des gentilshommes du voisinage de nouveaux droits. Tel est le cas de Jean de Ferrière, qui obtient tous les droits de justice sur Le Cheylard et sur Aubas ; Antoine Milon achète les mêmes droits pour la justice de La Renaudie et de La Filolie, François de Boussiers au Planchat (Montignac), Jean de La Bermondie à Auberoche (Fanlac), tout comme Jean Chapt, seigneur de Rastignac (La Bachellerie). Finalement, le 7 décembre 1603, Henri IV se résout à vendre les vestiges de l’ancienne châtellenie de Montignac à François de Hautefort pour 60 000 livres.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les surfaces étendues, les bons rendements, la diversité des cultures, la gestion des bois de haute futaie et des taillis, ainsi que le climat favorable engendrent des périodes d’excédents de production. Les grands propriétaires et fermiers expédient ces excédents par chariots ou par bateaux parfois fort loin: blés, bois, merrains, carrassons et feuillards, eaux de vie, vins, châtaignes, graines de genièvre, embarqués au port de Montignac, sont envoyés à Bergerac, Libourne, Bordeaux ou en Hollande ; à la remontée, les blés et les eaux de vie vont alimenter les marchés du Limousin.
Le milieu du XVIIIe siècle ouvre une nouvelle période de colonisation importante du sol, avec de nouveaux défrichements et l’introduction de plantes allochtones, venues des Amériques (maïs, tabac, pomme de terre dans une moindre mesure), qui est encouragée par les pouvoirs publics, au premier chef les intendants de Guyenne. Si la polyculture principalement céréalière des siècles précédents reste importante, la viticulture commence à dominer dans certains secteurs autour de Montignac, au point que les mêmes pouvoirs publics doivent en contrôler l’expansion pour éviter la chute des prix. La carte de la Guyenne réalisée en 1768 par Pierre de Belleyme, ingénieur-géographe du roi, reflète assez précisément le paysage de Montignac au début de l’essor des campagnes : elle figure l’emprise de la forêt et de la vigne avec, en quelque sorte, une étendue proche de son minimum pour la première, au regard de son extension actuelle et, à l’inverse, un développement qui s’approche de son maximum pour la seconde, au moment où le « bon prix du vin » va favoriser encore un temps les plantations. Le vignoble, dans des proportions très variables, avoisine presque systématiquement les maisons nobles. Il est très présent sur les coteaux ensoleillés qui encerclent Montignac. Selon un voyageur périgourdin, le chevalier de Lagrange-Chancel, qui écrit en 1730 : « Le pays [autour de Montignac] est sec et pierreux, excellent pour le vin ». Un simple regard sur les cartes anciennes permet de constater la progression de la viticulture entre 1768 et 1813, ce qu’attestent les informations recueillies par ailleurs sur la vigne en Dordogne : entre 1789 et 1835, la superficie viticole a quasiment doublé. De cette période de grande prospérité témoignent de nombreux édifices autour de Montignac : chais et cuviers isolés dans la cour des châteaux, des métairies ou des fermes, terrasses, cabanes de vignes et murets de délimitation des nouvelles parcelles, fontaines…
Au XVIIIe siècle, la grande affaire des intendants de Guyenne, après la réorganisation du corps des ponts et chaussées par Trudaine en 1747, est l’établissement de routes royales, plus larges et carrossables, qui permettront notamment à des charriots plus lourds de porter les marchandises. Ces routes, qui reprennent pour partie le tracé des anciens grands chemins, sont plus rectilignes et évitent soigneusement les zones de débordements de la Vézère. La route royale de Sarlat à Limoges, passant par Montignac, est aussi le préalable à l’édification du pont sur la Vézère, qui est réalisée par les ponts et chaussées entre 1766 et 1777. La nouvelle route et le pont, évitant aux marchands de passer par Terrasson et Brive-la-Gaillarde, rendent plus direct l’axe de circulation de Toulouse à Limoges. La ville de Montignac et son arrière-pays en sont les principaux bénéficiaires.
La Révolution modifie peu cette situation dans la vallée. Tout au plus entraîne-t-elle une redistribution des propriétés au profit de bourgeois enrichis, plus rarement de métayers. Les progrès agricoles pénètrent lentement dans la vallée et sont avant tout le fruit du réinvestissement de l’aristocratie légitimiste sur ses terres à partir de la monarchie de Juillet. Ces grands propriétaires, qui boudent le pouvoir orléaniste, ouvrent en Périgord la voie de l’agronomie. À l’exemple de Bugeaud qui a lancé l’expérience à Lanouaille dès 1824, Montignac voit la création de comices agricoles en 1833, avant celles de Terrasson en 1835, de Saint-Cyprien en 1840 et du Bugue, plus tardivement, en 1865. Au cours de la période, la véritable nouveauté est l’introduction du tabac.
Passé le milieu du XIXe siècle, la vallée, surpeuplée, ne suffit plus à sa propre subsistance et la dynamique économique née un siècle auparavant montre ses premiers signes d’essoufflement. Dans la seconde moitié du siècle, la création des nouvelles voies de circulation que sont les chemins de fer, tout en favorisant l’entrée de la modernité dans les campagnes, précipite cette crise du monde rural. Au début des années 1870 se pose la question de la desserte de Montignac et de Sarlat dans le cadre du développement du réseau d’intérêt local. Si le tracé de la ligne Nontron-Sarlat par Hautefort est déjà arrêté puis inscrit dans la loi Freycinet du 17 juillet 1879, un chemin de fer entre Montignac et Les Eyzies est également projeté. Son tracé est dessiné sur la carte d’État-Major de 1865 publiée par le Dépôt de la Guerre. D’une longueur de 22 kilomètres, il prévoit, depuis la future station de Montignac, de rejoindre la ligne Périgueux-Agen au nord du pont ferroviaire de Laugerie Haute. Ce chemin de fer n’a jamais dépassé le stade du projet. En revanche, la ligne de Condat-Le Lardin à Sarlat, passant par Montignac, est créée à la fin du siècle : la gare de Montignac est inaugurée en octobre 1899 ; elle fut utilisée jusqu'en 1940 pour les voyageurs et 1955 pour les marchandises.
La crise occasionnée par les ravages du phylloxéra s’avère aussi violente que celle qui touche le monde rural. Sur la commune, qui exportait 20 000 hectolitres sur 30 000 produits vers 1835, l’insecte a ravagé tous les ceps. Des photographies édifiantes prises au début du XXe siècle montrent les coteaux en arrière-plan de Montignac : c’est, à perte de vue, un paysage lunaire de collines clairsemées où la vigne a laissé la place aux seuls murets en pierre sèche qui délimitaient autrefois les parcelles. Cette situation concerne une grande partie de la vallée qui perd son vignoble au cours de la période et par conséquent, les nombreux bras qui s’en occupaient. Les laissés pour compte vont ainsi grossir les rangs de ceux touchés par le déclin des forges. A Montignac, la commune qui comptait 2 600 habitants en 1793 et en atteint plus de 4 000 en 1851, voit sa population décroître inexorablement par la suite, passant à près de 3000 habitants en 1906 ; cet exode rural annonce la fin des terroirs.
La découverte fortuite de la grotte de Lascaux le 12 septembre 1940, puis son classement avec quatorze autres gisements et grottes ornées de la vallée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, entérine le statut de Montignac comme sanctuaire de l’art préhistorique en 1979. Pour accueillir un public toujours plus nombreux, de nouveaux établissements voient le jour. Ce sont, par ordre d’apparition, Lascaux II, en 1983, et, dernier en date, Lascaux - Centre International de l’Art Pariétal en 2016. Depuis 2018, la commune s'appelle Montignac-Lascaux.
Dans le cadre de l'inventaire du patrimoine de la vallée de la Vézère, nous avons couvert l'ensemble du territoire de la commune de Montignac.
93 dossiers ont été réalisés, dont 72 ont bénéficié d'une étude plus approfondie et 13 d'un simple repérage. Des dossiers de synthèse sur les maisons et fermes, les maisons à encorbellements et pans de bois, les croix monumentales, les séchoirs à tabac, les cabanes dites bories et les moulins on également été constitués.
Description
La commune de Montignac s'étend sur une superficie de 37,15 km2 et présente la spécificité d'être traversée par la Vézère du nord-est au sud-ouest, avec le chef-lieu communal, au centre de son territoire, s'étendant sur les deux berges de la rivière.
Elle est limitrophe au nord de la commune d'Auriac-de-Périgord, à l'est d'Aubas et de Saint-Amand-de-Coly, à l'ouest de Fanlac et de Thonac et au sud des communes de Valoujoux et de La Chapelle-Aubareil.
Principalement composé de hautes collines boisées, le relief varie de 73 m d'altitude (niveau de la Vézère à la limite sud-ouest du territoire communal) à 273 m (au nord-ouest, au lieu-dit les Quatre-Bornes). Le paysage est façonné par la vallée creusée par la Vézère et ses petits affluents (le Doiran et le Laurence), de sorte que l'habitat se concentre principalement dans la plaine alluviale, autour de Montignac, dans la plaine du Chambon et autour du hameau de Brénac. Cette densité de constructions contraste avec les zones boisées des collines alentour de la ville de Montignac. Celui-ci se situe également au carrefour des routes départementales 65, 704, 704e et 706. Le territoire communal est également desservi au nord par les routes départementales 46 en direction des Farges, et 67 en direction d'Auriac-du-Périgord.
Le développement du tourisme lié à la grotte de Lascaux a induit l'installation d'un camping, d'un site de canoës et de nombreuses résidences secondaires.
Informations complémentaires
Type de dossier |
Dossier d'aire d'étude, communal |
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Référence du dossier |
IA24001346 |
Dossier réalisé par |
Ferlier Ophélie
Pagazani Xavier Marabout Vincent |
Cadre d'étude |
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Date d'enquête |
2011 |
Copyrights |
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne |
Citer ce contenu |
Présentation de la commune de Montignac, Dossier réalisé par Ferlier Ophélie, (c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Conseil départemental de la Dordogne, https://www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr/Default/doc/Dossier/c6ea0e3d-7702-4bfa-bd11-9a00ff6f1fb0 |
Titre courant |
Présentation de la commune de Montignac |
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Documents d'archives
BnF, Fonds Périgord (Prunis & Leydet), t. 11.
Mention : Inventaire des titres de la châtellenie de Montignac.
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
ISBD/Commentaire :
Fonds Périgord (Prunis & Leydet), t. 11.
BnF, Fonds Périgord (Lespine), t. 47.
Mention : Villes clauses, M-Z. Montignac, fol. 24 et suiv. : Privilèges de Montignac, 1269, 1314, 1368 (n. st.) et 1517 (n.st.), (copie 18e).
Lieu de conservation : Bibliothèque nationale de France, Paris
ISBD/Commentaire :
BnF, Fonds Périgord (Lespine), t. 47.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 780.
Mention : Copie des privilèges de la ville de Montignac, s.d. (1269 ou 1277).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 780
ISBD/Commentaire :
AD Pyrénées-Atlantiques. E 780.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 207. Titres relatifs aux fiefs du domaine d'Albret (1300-1315)
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 207
ISBD/Commentaire :
Titres relatifs aux fiefs du domaine d'Albret dont le fief de Cantemerle (1300-1315).
AD Pyrénées-Atlantiques. E 620-E 620bis. Renaud de Pons, seigneur de Bergerac, assigne une rente de 500 livres sur l’étendue de la châtellenie de Montignac, dont fait partie la paroisse « deus Bas », en faveur d’Archambaud, comte de Périgord, pour constituer la dot de sa sœur Jeanne de Pons, 1324.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 620-E 620bis
ISBD/Commentaire :
Renaud de Pons, seigneur de Bergerac, assigne une rente de 500 livres sur l’étendue de la châtellenie de Montignac, dont fait partie la paroisse « deus Bas », en faveur d’Archambaud, comte de Périgord, pour constituer la dot de sa sœur Jeanne de Pons, 1324.
BNF, Fonds Périgord, t. 23. État des châtellenies du Périgord en 1364.
ISBD/Commentaire :
BNF, Fonds Périgord, t. 23. État des châtellenies du Périgord en 1364.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 776. Exemption par le comte de Périgord de leurs obligations les tenanciers dont les maisons ont été incendiées par les Anglais, 1383.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 776
ISBD/Commentaire :
Exemption par le comte de Périgord de leurs obligations les tenanciers dont les maisons ont été incendiées par les Anglais, 1383.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 635. Hommages rendus au duc d'Orléans, comte de Périgord (1400).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 635
ISBD/Commentaire :
Hommages rendus au duc d'Orléans, comte de Périgord (1400).
AD Pyrénées-Atlantiques. E 779. Rôle des revenus en argent et en nature appartenant au duc d'Orléans dans la châtellenie de Montignac perçus par Giraud de Bonis, receveur, 1427.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 779
ISBD/Commentaire :
Rôle des revenus en argent et en nature appartenant au duc d'Orléans dans la châtellenie de Montignac perçus par Giraud de Bonis, receveur, 1427.
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 660. (Cahier in-4°, 5 feuillets, papier). Montre des nobles de Périgord faite pour Alain d'Albret, s.d. (XVe siècle).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 660
ISBD/Commentaire :
(Cahier in-4°, 5 feuillets, papier). Montre des nobles de Périgord faite pour Alain d'Albret, s.d. (XVe siècle).
AD Pyrénées-Atlantiques. E 781.
Mention : Rôles de taille levée dans la châtellenie de Montignac, sur les différentes paroisses la composant ; réparation et fortification du pont ; état nominatif des habitants de la châtellenie de Montignac (1473-1492)
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 781
ISBD/Commentaire :
AD Pyrénées-Atlantiques. E 781.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 669. Mémoires envoyés au seigneur d’Albret par les officiers ordinaires des châtellenies et autres lieux de la vicomté de Limoges et comté de Périgord (1502).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 669
ISBD/Commentaire :
Mémoires envoyés au seigneur d’Albret par les officiers ordinaires des châtellenies et autres lieux de la vicomté de Limoges et comté de Périgord (1502).
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 782. (Carton. 2 pièces, parchemin ; 16 pièces, papier. 1502-1514). Rôle des nobles de la châtellenie de Montignac qui devaient l'hommage au comte de Périgord, entre 1502 et 1514.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 782
ISBD/Commentaire :
E. 782. (Carton. 2 pièces, parchemin ; 16 pièces, papier. 1502-1514). Rôle des nobles de la châtellenie de Montignac qui devaient l'hommage au comte de Périgord, entre 1502 et 1514.
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 666. (Cahier in-4°, 9 feuillets, papier). Hommages rendus à Alain d'Albret, comte de Périgord et vicomte de Limoges, 1509.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 666
ISBD/Commentaire :
(Cahier in-4°, 9 feuillets, papier). Hommages rendus à Alain d'Albret, comte de Périgord et vicomte de Limoges, par : Héliot de Ferrières, seigneur de Sauvebœuf, de Corn et de La Robertie, 1509.
AD Pyrénées-Atlantiques. E 671. Rôle de l'arrière-ban de la noblesse du comté de Périgord et vicomté de Limoges, s.d. (entre 1531 et 1534).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 671
ISBD/Commentaire :
Rôle de l'arrière-ban de la noblesse du comté de Périgord et vicomté de Limoges, s.d. (entre 1531 et 1534).
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 14. Inventaire des archives de la Maison d'Albret conservées aux châteaux de Nérac et Casteljaloux [fait en 1544].
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 14
ISBD/Commentaire :
(Cahier relié, en vélin). Inventaire des archives de la Maison d'Albret conservées aux châteaux de Nérac et Casteljaloux [fait en 1544].
AD Pyrénées-Atlantiques. E 607. Inventaire des archives du château de Montignac par Jean Fabre, évêque d'Aure, 1546.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 607
ISBD/Commentaire :
Inventaire des archives du château de Montignac par Jean Fabre, évêque d'Aure, 1546.
AD Pyrénées-Atlantiques. E. 696. (Carton. 5 pièces, parchemin ; 4 pièces, papier, 1316-1567). Rachat des justices de Bars et Saint-Michel, par Jeanne d'Albret, reine de Navarre, au seigneur de Sauvebœuf, (1567 ?).
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E. 696
ISBD/Commentaire :
E. 696. (Carton. 5 pièces, parchemin ; 4 pièces, papier, 1316-1567).
AD Pyrénées-Atlantiques. E 671. Hommages rendus au roi de Navarre, comte de Périgord, 25 janvier 1583.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : E 671
ISBD/Commentaire :
Hommages rendus au roi de Navarre, comte de Périgord, 25 janvier 1583.
AD Pyrénées-Atlantiques. B 1911. Vente de la justice du Penchat, autrement Mourgue, à François Boussier, 1598 (document orig. détruit lors de l’incendie de 1908)
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : B 1911
ISBD/Commentaire :
Vente de la justice du Penchat, autrement Mourgue, à François Boussier, 1598 (document orig. détruit lors de l’incendie de 1908)
AD Pyrénées-Atlantiques. B. 1912. (Carton. 3 pièces, parchemin, et 2 pièces, papier). Ventes de la justice d'Aubas en faveur de Jean de Ferrières, seigneur de Sauvebœuf, 1598-1599.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : B. 1912
ISBD/Commentaire :
AD Pyrénées-Atlantiques. B. 1912. (Carton. 3 pièces, parchemin, et 2 pièces, papier). Ventes de la justice d'Aubas en faveur de Jean de Ferrières, seigneur de Sauvebœuf, 1598-1599.
AD Pyrénées-Atlantiques. B. 1916. (Carton. 4 pièces, papier). Vente de fiefs sur le domaine de Périgord à Jean de Ferrières, sieur de Sauvebœuf, etc., 1600.
Lieu de conservation : Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Pau
Côte : B. 1916
ISBD/Commentaire :
B. 1916. (Carton. 4 pièces, papier). Vente de fiefs sur le domaine de Périgord à Jean de Ferrières, sieur de Sauvebœuf, etc., 1600.
AD Dordogne. 2 E 1828 (1-113). Fonds d'Hautefort, 1258-An X.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 2 E 1828 (1-113)
ISBD/Commentaire :
Fonds d'Hautefort, 1258-An X.
AD Dordogne. 12 O 319 (commune de Montignac-sur-Vézère).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 12 O 319
ISBD/Commentaire :
AD Dordogne. 12 O 319 (commune de Montignac-sur-Vézère).
AD Dordogne. 12 O 320. Commune de Montignac-sur-Vézère.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 12 O 320
ISBD/Commentaire :
Commune de Montignac-sur-Vézère.
Documents figurés
Extrait de la "Carte des rivières de la Dordogne et de la Vézère" levée pour François de Ferry, 1696 (AD Gironde, 3 JC 17, fol. 56).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : 3 JC 17
ISBD/Commentaire :
Extrait de la "Carte des rivières de la Dordogne et de la Vézère" levée pour François de Ferry, 1696 (AD Gironde, 3 JC 17, fol. 56).
"Pland de la ville, et environs de Montiniac le Conte", s.d. [vers 1750 ; avant 1758] (AD Gironde, 2 Fi 1108).
Lieu de conservation : Archives départementales de la Gironde, Bordeaux
Côte : 2 Fi 1108
ISBD/Commentaire :
"Pland de la ville, et environs de Montiniac le Conte", s.d. [vers 1750 ; avant 1758] (AD Gironde, 2 Fi 1108).
Carte de la Guyenne par Belleyme. Reproduction en fac-similé de l'édition du 18e siècle conservée à l'Institut géographique national, par Pierre de Belleyme, IGN.
Mention : Planche 23
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 1 Fi 2 Dordogne 0013
ISBD/Commentaire :
Carte de la Guyenne par Belleyme. Reproduction en fac-similé de l'édition du 18e siècle conservée à l'Institut géographique national, par Pierre de Belleyme, IGN.
Plan cadastral de la commune de Montignac, 1813 (AD Dordogne, 3P3 3210-3228 ou AM Montignac)
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 3P3 3210-3228
ISBD/Commentaire :
Plan cadastral de la commune de Montignac. Dessin, encre et aquarelle, par Lafargue, 1813 (deux exemplaires, l'un conservé aux Archives départementales de la Dordogne, l'autres aux Archives municipales de Montignac).
Remise aux Domaines des ouvrages de la liquidation de la société Mévil dans la traversée de Montignac, plan par Nouailhac Pioch, ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées, 1897.
Lieu de conservation : Archives départementales de la Dordogne, Périgueux
Côte : 3 S 266
ISBD/Commentaire :
Remise aux Domaines des ouvrages de la liquidation de la société Mévil dans la traversée de Montignac, plan par Nouailhac Pioch, ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées, 1897.
Carte postale, début du XXe siècle.
Lieu de conservation : Collection particulière
ISBD/Commentaire :
Carte postale, début du XXe siècle.
Périodiques
Extrait d’un mémoire du seigneur d’Albret (1502). 1854.
ISBD/Commentaire :
« Extrait d’un mémoire du seigneur d’Albret contre la dame de Montrésor, qui demandait sa part dans la seigneurie de la comté de Périgord ». Le Chroniqueur du Périgord et du Limousin, 1854, p. 134-140.
LAGRANGE-CHANCEL. Extrait du deuxième volume des voyages du chevalier de Lagrange-Chancel. 1916
Mention : p. 330
ISBD/Commentaire :
LAGRANGE-CHANCEL (chevalier de). "Extrait du deuxième volume des voyages du chevalier de Lagrange-Chancel - Voyage de Paris pour le Poitou, Angoumois et Périgord". Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. XLIII, 1916, p. 322-336.
VILLEPELET R. Le roi Henri IV et le comté de Périgord
ISBD/Commentaire :
VILLEPELET R. "Le roi Henri IV et le comté de Périgord, suivi d'un inventaire des liasses Q1 171-175 des archives nationales", Bulletin de la société historique et archéologique du Périgord. Tome XLIII, 1916, p. 53-72.
FOURNIOUX Bernard. « Le bourg castral de Montignac, ses lettres de franchises et de libertés », dans la revue Mémoire de la Dordogne (revue des archives départementales de la Dordogne), n° 5.
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX Bernard. « Le bourg castral de Montignac, ses lettres de franchises et de libertés », dans la revue Mémoire de la Dordogne (revue des archives départementales de la Dordogne), n° 5.
FOURNIOUX, Bernard. "Les chevaliers périgordins et leur assise territoriale aux XIIIe-XIVe siècles".
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX, Bernard. "Les chevaliers périgordins et leur assise territoriale aux XIIIe-XIVe siècles". Archéologie médiévale, CNRS, t. XVIII, 1988, p. 255-272.
FOURNIOUX Bernard. "Autour d’une représentation sigillographique du pont de Montignac au milieu du XIIIe siècle". Bulletin de la société historique et archéologique du Périgord, 1988, t. 115, p. 73.
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX Bernard. "Autour d’une représentation sigillographique du pont de Montignac au milieu du XIIIe siècle". Bulletin de la société historique et archéologique du Périgord, 1988, t. 115, p. 73.
FOURNIOUX Bernard. "A propos de projets de reconstruction du pont de Montignac (Dordogne) au XVIIe siècle". Documents d’archéologie et d’histoire périgourdines (A.D.R.A.H.P.), t. 12, 1997, p. 133-142.
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX Bernard. "A propos de projets de reconstruction du pont de Montignac (Dordogne) au XVIIe siècle". Documents d’archéologie et d’histoire périgourdines (A.D.R.A.H.P.), t. 12, 1997, p. 133-142.
FOURNIOUX Bernard. « Le paysage agraire de la châtellenie de Montignac..."
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX Bernard. « Le paysage agraire de la châtellenie de Montignac et son environnement humain à la fin du Moyen Age ». Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. CXXVII, 2000. p. 139-162.
Bibliographie
CARLES Alcide. Dictionnaire des paroisses du Périgord. Bayac : Editions du Roc de Bourzac, 1884, réédition 1986.
Mention : p. 113-114
ISBD/Commentaire :
CARLES Alcide. Dictionnaire des paroisses du Périgord. Bayac : Editions du Roc de Bourzac, 1884, réédition 1986.
GOURGUES Alexis de. La Dordogne. Dictionnaire topographique du département. Paris : Res Universis, 1992, fac-similé de l'édition de 1873 (Monographies des villes & villages de France).
Mention : p. 207
ISBD/Commentaire :
GOURGUES Alexis de. La Dordogne. Dictionnaire topographique du département. Paris : Res Universis, 1992, fac-similé de l'édition de 1873 (Monographies des villes & villages de France).
MARQUAY, Jean. Montignac-sur-Vézère, pages de son histoire et de sa vie religieuse.
ISBD/Commentaire :
MARQUAY, Jean. Montignac-sur-Vézère, pages de son histoire et de sa vie religieuse. Montignac : impr. d’E. Leymarie, 1938.
GARRIGOU-GRANDCHAMP Pierre. "Introduction à l'architecture domestique en Périgord aux XIIIe et XIVe siècles".
ISBD/Commentaire :
GARRIGOU-GRANDCHAMP Pierre. "Introduction à l'architecture domestique en Périgord aux XIIIe et XIVe siècles". Congrès archéologique de France, 1998. Paris : Société Française d'archéologie, 1999. P. 17-45.
GAILLARD Hervé. La Dordogne
Mention : p. 166-168
ISBD/Commentaire :
GAILLARD Hervé. La Dordogne, 24/1. Michel Provost (Dir.). Paris : Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1997 (Carte archéologique de la Gaule).
TANET Chantal, HORDE Tristan. Dictionnaire des noms de lieux du Périgord
ISBD/Commentaire :
TANET Chantal, HORDE Tristan. Dictionnaire des noms de lieux du Périgord. Périgueux : Fanlac, 2000.
FOURNIOUX Bernard. Montignac au Moyen âge : histoire du peuplement et de l’occupation du sol.
ISBD/Commentaire :
FOURNIOUX Bernard. Montignac au Moyen âge : histoire du peuplement et de l’occupation du sol. Périgueux : Bernard Fournioux, 2002.
PAGAZANI Xavier, MARABOUT Vincent, BECKER Line. La vallée de la Vézère en Périgord. La fabrique d'un paysage.
Mention : passim.
ISBD/Commentaire :
PAGAZANI Xavier, MARABOUT Vincent, BECKER Line. La vallée de la Vézère en Périgord. La fabrique d'un paysage. Bordeaux, Le Festin, 2017.
Projet d'aménagement du quai et du chemin de halage au droit de la rue de la Pégerie, rive gauche de la Vézère, à Montignac.
Tondusson Laurent
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Vue de la rue du Quatre-Septembre au début du 20e siècle.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue de Juillet au début du 20e siècle.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac et de ses environs au début du 20e siècle.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne usine électrique, les Sagnes (AO 57).
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fontaine et lavoir de Bombareau (AP 19).
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancien hôtel du commerce (AP 838) : élévation sur la place Carnot.
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancien hôtel du Commerce (AP 838) : élévation sur la place Carnot.
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Place d'Armes.
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Place d'Armes.
Faure Pierre
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La grande crue de 1960 (4 et 5 octobre) à Montignac, rue de Juillet.
Tondusson Laurent
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Après la grande crue de 1960 à Montignac.
Tondusson Laurent
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel, (c) Archives départementales de la Dordogne
Vue du pont de la voie ferrée démantelée (AT 189).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Pont de la voie ferrée démantelée, Les Combes (AX 39).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac prise du Sorbier de Beaussane.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac prise du Sorbier de Beaussane : la rive gauche, le bourg.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac prise du Sorbier de Beaussane.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac prise du Sorbier de Beaussane : le bourg, rive droite.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Brenac prise du Sorbier. Au second plan, le château de Puy-Robert.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue du bourg prise du Sorbier.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Portail Peyrou", rue du docteur Delsouiller (AR 119).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fontaine du faubourg de Beynaguet rue Foy (AP 447).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue du Marteau. A l'arrière-plan, le clocher de l'église Saint-Pierre.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le coteau de Beynaguet vu du pont.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vu du bourg (rive droite) depuis la rue des Jardins.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancien hôtel du Commerce, place Carnot (AP 838).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Citerne, Roufflat (BP 111).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Citerne, Roufflat (BP 111) : inscription.
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Hôtel de la Grotte, 63 rue du Quatre-Septembre (AP 251).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fontaine, Les Granges (AT 138).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Fontaine et lavoir de Bombareau, rue du Juillet (AP 19).
Ferlier Ophélie
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'hôtel de Bouilhac et le coteau de Beynaguet depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'hôtel de Bouilhac et le pont depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bourg depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue du pont et de Montignac.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
L'ancien pont depuis le nouveau pont.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La Vézère en amont du nouveau pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac et de l'ancien pont depuis le nouveau pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac depuis le nouveau pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bourg en amont de l'ancien pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisons des bords de la Vézère depuis l'ancien pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisons des bords de la Vézère depuis l'ancien pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisons des bords de la Vézère depuis l'ancien pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bourg depuis l'ancien pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maison des bords de la Vézère depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bourg depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai Mérilhou depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le quai Mérilhou depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir de la Bombarde au premier plan, couvent des clarisses à l'arrière-plan.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisons des bords de la Vézère depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Maisons des bords de la Vézère depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne usine électrique, Les Sagnes (AO 57).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne usine électrique, Les Sagnes (AO 57).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne usine électrique, Les Sagnes (AO 57).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne écluse à bateaux. En arrière-plan, le nouveau pont.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Ancienne écluse à bateaux.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Toit de tuiles.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Toit de tuiles.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue du bourg depuis le Sorbier.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Brenac depuis le Sorbier.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue du bourg depuis le Sorbier.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir, à Clairefontaine
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Clairefontaine (BK 47).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir de Clairefontaine (BK 47).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir des Quatre chemins à Fongouge (BH 37).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir des Quatre chemins à Fongouge (BH 37).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lavoir des Quatre chemins à Fongouge (BH 37).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue des champs des Quatre chemins à Fongouge.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue du Barry.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue du Barry.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de l'extrémité de la rue de la Pégerie.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue de la Liberté.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Toit d'ardoises, Montignac.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue du Quatre-Septembre.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Place Carnot, emplacement de l'étang comblé de la saboterie.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue de Juillet.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue du Barry. A droite, l'église du prieuré.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de la rue de la Pégerie, maisons à pan de bois.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de l'avenue Jean-Jaurès.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de l'avenue Jean-Jaurès.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de l'avenue Jean-Jaurès.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de l'avenue Jean-Jaurès.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Pont du chemin de fer (AT 189).
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les environs de Montignac vus depuis le château du Planchat..
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble de Montignac depuis le Regourdou.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Les environs de Montignac vus depuis le sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La ville de Montignac vue depuis le Regourdou.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La plaine alluviale dans les environs de Montignac vue depuis le Regourdou.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac depuis le Regourdou.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Montignac vu depuis le Regourdou : l'ancien bourg castral, le château et la colline dominant la ville..
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac depuis le Regourdou : le château et l'ancien bourg castral.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le collège Yvon Delbos de Montignac vu depuis le Regourdou.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac au sud-est : le château et l'ancien bourg castral.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue d'ensemble du bourg de Montignac au sud-est.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Vue de Montignac depuis le Regourdou : le château et l'ancien bourg castral.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
La plaine de Biars et de Montignac vue depuis La Requeyrie.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Lieu-dit Les Abattoirs. Ancien muret en pierre sèche de contrebutement d'une terrasse viticole.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
Le bourg depuis la rive gauche.
Barroche Adrienne
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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